Vous souhaitez être informé des nouvelles oeuvres en stock pour cet artiste ? Saisissez votre adresse email pour déposer une alerte
Né en 1889. L'oeuvre protéiforme du poète Jean Cocteau, selon ses propres mots, se divisait en « poésie de roman, poésie de théâtre, poésie critique, poésie cinématographique ». Poète évidemment, romancier (Les Enfants terribles), dramaturge (Les Parents terribles), cinéaste (Orphée, La Belle et la Bête, etc.) donc, mais aussi . . . . .
Voir & découvrir
Les oeuvres présentées sur cette page ne sont plus à la vente.
Catalogue(s) raisonné(s)
Catalogue(s) raisonné(s)
Piste bibliographique & autres
A lire sur l'artiste :
- « Cocteau par lui-même », A. Fraigneau, Seuil, 1963
- « Jean Cocteau, poète graphique », A. Fraigneau et P. Chanel, Ed. du Chêne, 1975
- « Sur les pas de Jean Cocteau », Hugues de la Touche, Ed. Rom, 1998
- « Cocteau l'Égyptien », A. Youssef, J. Lacouture, Ed. du Rocher, Monaco, 2001
- « Jean Cocteau », François Nemer, catalogue du Centre Pompidou, 2003
- « Jean Cocteau : Les années Francine, 1950-1963 », Carole Weisweiller, Ed. Seuil, 2003
- « Jean Cocteau le magnifique », P. Fulacher et D. Marny, Gallimard, 2013
- « Jean Cocteau ou le roman d'un funambule », D.Marny, Ed. du Rocher, 2013
- « Jean Cocteau - Les murs tatoués », Carole Weisweiller, Ed. Michel de Maule, Paris, 2013
- « Cahier Cocteau », Cahier de L'Herne, Ed. L'Herne, 2016
A lire de l'artiste :
- « Entretiens avec André Fraigneau », Ed. Bibliothèque 10/18 (Poche), 1965
- « L'Ode à Picasso », Cocteau-Picasso, l'école des lettres, Paris, 1996
Site internet :
www.jeancocteau.netEn savoir plus :
Timbre de Jean Cocteau
L’émission d’un timbre poste est souvent un hommage rendu par une nation à un lieu, à un événement, à une cause remarquable ou à un personnage qui compte. Les peintres et autres artistes n’échappent pas à cette règle. Certains sont pourtant des « oubliés » de l’art postal. Voici, rassemblés ci-dessous (français ou étranger), les timbres émis (171) ou les simples études de timbre (209) en hommage aux artistes représentés sur notre site. Le premier timbre français fut émis en 1849, l’Angleterre nous précéda d’une dizaine d’années. Il y a souvent une part de voyage dans cette petite forme de papier dentelée. Le timbre circule, vogue, s’envole, il fait rêver, alors rêvons un peu. M.C.
Lorsque le timbre est réellement émis, le nom de l'artiste est précédé d'une étoile (*). 
Il est certain que nous ne connaissons pas certains timbres parus pour tel ou tel artiste ; n’hésitez pas à nous les faire connaître !
Découvrir tous les timbresDessin et dédicace de l'artiste
Document vendu en 2004 par la Galerie Champetier.
Lettre de Mr Robert Badani, président des Amis de J. Cocteau/Méditerranée ***
20 Octobre 2005
Nos vies sont jalonnées de rencontres, elles peuvent être bénéfiques ou maléfiques, porteuses de rêves ou de cauchemars ; nous n'avons parfois pas le choix de l'une ou l'autre de ces catégories. Nous avons aussi parfois la chance de faire fructifier un premier plaisir venu là, inattendu, à un rendez-vous . . . que vous n'aviez pas. Quelques minutes - des images qui défilent sur un grand écran peut-être ?- qui infléchiront le sens de votre vie entière, donneront une direction à vos pas et à votre pensée. Comment peut-on rencontrer un poète ? Pour ma modeste part, mes années d'enfance, puis d'adolescence, m'ont permis d'aborder la magie de l'écran noir, puis l'oeuvre de Jean Cocteau, donc, par le cinéma. « L'éternel retour », une séance où tout le monde pleurait, « La Belle et la bête », bien sûr, ce magnifique conte philosophique avec Jean Marais et Josette Day, et ensuite « Orphée », où Cocteau tient lui-même le rôle d'Orphée, il « est » Orphée. Le temps passa. En 1957, dans les djebels des Aurès, lors de ce que l'on a appelé pudiquement « les opérations de pacification », le hasard - existe-t-il ? - m'a amené à découvrir « Thomas l'Imposteur », roman de Cocteau de 1923. Le poète y avait abordé une autre guerre, aussi absurde, celle de 14-18. Je me sentis exactement dans la même situation que le jeune Guillaume-Thomas qui s'était introduit « en fraude » sur le front belge. Cocteau était encore venu à moi. J'abordais, plus tard, son théâtre et tout ce que ce poète a osé dans ce domaine : le destin était lié, ce qui me permet aujourd'hui, après tant de lecture et d'études de ce personnage, de faire connaître et aimer l'oeuvre de ce poète démiurge à l'orée du XXI° siècle qu'il avait déjà envisagé . . . après avoir été dévisagé.
Ecouter
Regarder
En mémoire de Jean Cocteau
A soixante quatorze ans, le 11 octobre 1963, Jean Cocteau décède à Milly-la-Forêt (Essonne, France). Il y repose depuis, dans la Chapelle Saint-Blaise des Simples qu’il avait décoré. Sur sa tombe, son épitaphe : Je reste avec vous. Voici, posée pour la mémoire, la fleur du géranium, qui fleurit les balcons de la Côte d’Azur qu’il aimait tant.
"Je trouve Cocteau très remarquablement intelligent et doué" - Marcel Proust
"La chambre de Cocteau était un désordre plein d'ordre intérieur. Les objets. les plus divers occupaient les murs, les tables, les chaises et jusqu'au lit d'hôtel suisse couvert d'un édredon à fleurs. " - Maurice Sachs
"Le souffle qui m’habite, je le connais mal, mais il n’est pas tendre. J'ai l'angoisse de l'heure et j'ai peur de la vie. " - Jean Cocteau
"Les hommes se jugent aux fidélités qu'ils suscitent." - Jean Marais (citant Albert Camus)
"Moins une oeuvre est comprise, moins vite elle ouvre ses pétales et moins vite elle se fane. " - Jean Cocteau
"Le vrai tombeau des morts, c'est le coeur des vivants. " - Jean Cocteau
Mouvements de l'art
- + DES « SINGULIERS » / XXème siècle / Tous les mouvements de l'art
Achat - Estimation
Si vous souhaitez me proposer ou faire estimer une oeuvre de cet artiste, n'hésitez pas à nous contacter ; nous vous répondrons dès que possible.