"Sculpture",


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Le catalogue raisonné « Julio Gonzalez - Sculpture » a été établi par Jörn Merkert et publié par les Editions Electa (Milan) en 1987, sous les auspices de l'IVAM/Instituto Valenciano de Arte Moderno - Centre Julio Gonzalez (Valence). Après une préface de Tomas Llorens et une introduction de Margit Rowell (« La genèse de la sculpture en fer »), l'auteur répertorie l'ensemble des oeuvres de l'artiste, soit 249 références, entre « Eve » (cuivre repoussé - circa 1900-1910) et son ultime sculpture, « Tête Montserrat criant » réalisée en 1942, date de disparition de l'artiste. Le style personnel de Gonzalez, et son oeuvre en métal soudé, se sont révélés assez tard dans sa vie. Cependant leur importance lui valut le titre de « père de toute la sculpture en fer de ce siècle » que lui décerna le sculpteur américain David Smith. La sculpture de Julio Gonzalez reflète les contradictions fondamentales entre le surréalisme et le constructivisme, la figuration et l'abstraction, les conventions académiques et l'avant-garde. Julio Gonzalez réussit à fondre ces différentes approches de la sculpture en un seul langage à la fois singulier et personnel. Unir la matière à l'espace. Julio Gonzalez aida à la transformation de la notion même de sculpture au XXe siècle, d'un art de la représentation à un art de l'invention.